Enfin, les "pouvoirs publics" qui ne semblent pas pouvoir grand chose contre le fléau du chômage semble se réveiller sur ce sujet après maintes délocalisations (réelles ou non : Bosch France envisage le retour aux 40 heures, Le Monde du 15/12/05) : Jacques Chirac veut alléger le coût du travail (Le Monde, 03/01/06).
Le système de la taxe professionnelle et autres impôts assujettis au travail est en effet imbécile comme le disait Mitterand… qui n’a jamais rien fait non plus ! C’est en effet une incitation pour les entreprises françaises à substituer du capital au travail –d’ou un le bon taux de productivité français qui est le pendant de notre fort taux de chômage… Il suffit de prendre le métro à Paris pour s’en apercevoir : presque pas de personnel en vue, les interphones et cameras sont la pour combler ce manque au détriment de la sécurité apportée par des humains comme dans toutes les stations du métro londonien…
L’article cite plus haut parle de la remplacer par une taxe sur la valeur ajoutée, ce qui a pour inconvénient de délocaliser les profits mais vu le taux des prélèvements confiscatoires, est-ce un mal ?
Voir aussi nos post précédents sur le sujet :
03 janvier 2006
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