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19 novembre 2014

Diesel: va-t-on finalement arreter de mazouter les enfants des villes?

Enfin, enfin, on se se reveille: Pourquoi le Diesel doit faire marche arrière, Le Monde, 18/11/14


(article plus bas)
 
Enfin...
 
Voir mes posts precedents sur le sujet:
 

Pourquoi le Diesel doit faire marche arrière

Le Monde.fr | • Mis à jour le
AFP PHOTO / ROMEO GACAD

Tout d’abord, on nous a expliqué que le diesel n’était pas dangereux. Or l’OMS a finit par reconnaître en 2012 que les gaz d’échappement des moteurs diesel sont des cancérigènes non plus probables, mais certains. Et que les particules fines qu’ils émettent sont responsables de 42 000 morts par an rien qu’en France.
Contraints de céder sur ce point, les mêmes ont tenté de démontrer que le diesel n’était, après tout, pas la seule source de particule fines. C’est vrai ! Mais la part du trafic routier dans l’émission de ces particules est prépondérante dans les grandes agglomérations - pas moins de 51 % en Ile-de-France.
Les défenseurs des pots d’échappement ont ensuite rétorqué que le respect des normes européennes en la matière nous protégeait. Il devrait. Une valeur limite fixée par l’Europe, fixée à 50 mg de particules fines par m3 d’air, ne doit être dépassée plus de 35 jours par an. Or, trois millions de Franciliens habitent dans des zones où il n’est pas rare de dépasser cette valeur limite plus de 200 jours dans l’année. En tout, 15 zones en France, dont 12 agglomérations de plus de 100 000 habitants, seraient ainsi exposées à des dépassements réguliers de seuils, ce qui vaut à la France d’être actuellement poursuivie par la Commission européenne, encourant une peine estimée à plus de 100 millions d’euros.
On nous a alors concédé que tout cela était peut-être vrai, mais qu’heureusement, à présent, les filtres à particules dont sont équipés les nouveaux véhicules diesel résolvaient tous ces problèmes. Que le nouveau diesel, propre, était arrivé ! En réalité, un conflit d’intérêt manifeste se cache derrière ce nouveau slogan. Les tests d’émission sont réalisés par les constructeurs eux-mêmes. Ils ne prennent pas en compte les conditions d’utilisation réelles des filtres. Et ces filtres ne permettent de toute façon pas de stopper l’émission des particules les plus fines qui sont aussi les plus dangereuses, ni les composés organiques volatils qui, une fois dans l’air, reforment des particules fines secondaires. Leur utilisation induit de surcroît une surproduction d’autres substances polluantes, dont les oxydes d’azote (Nox), déjà en concentration importante dans de nombreuses agglomérations et au sujet desquels la réglementation européenne a prévu un durcissement dès 2015.

Le diesel est aussi plus cher

Les écologistes ont été accusés d’en vouloir aux classes populaires à qui le diesel procure une solution bon marché pour se déplacer. La réalité ? Contrairement à ce que beaucoup pensent, les moteurs diesel, plus chers à l’achat, sont aussi plus chers à l’entretien et ne sont rentabilisés que sur de très longues distances, dans la mesure où le carburant est subventionné à la pompe. Si le prix du diesel à la pompe est artificiellement plus bas que celui de l’essence, c’est d’ailleurs du fait d’une niche fiscale qui représente un manque à gagner pour nos finances publiques de plus de sept milliards d’euros par an et qui est in fine financée par les contribuables et donc les ménages eux-mêmes.
Alors le débat est monté d’un ton, et les attaques contre les écologistes sont devenues plus violentes. Il a donc été expliqué par certains que « l’écologie est punitive ». Curieuse tournure d’esprit, alors que c’est l’absence d’écologie qui l’est. Pour les professions surexposées, qui conduisent ou interviennent sur des véhicules routiers (garagistes, mécaniciens, commerciaux, transporteurs) ou utilisent ces engins dans le BTP, l’industrie ou l’agriculture, sans oublier le personnel travaillant à proximité de ces véhicules (travailleurs sur la voie publique, employés de péage ou de parking). Pour les personnes âgées, dont la capacité respiratoire est diminuée. Pour les enfants, particulièrement exposés car près du sol et respirant plus vite, ils sont plus vulnérables car leurs alvéoles pulmonaires sont encore en développement. Est-il punitif de s’indigner du fait que les enfants vivant près des axes routiers aient 20 % de risque de plus que les autres de faire de l’asthme ? Est-il punitif de s’indigner du fait que ce soient les plus modestes qui, le plus souvent, habitent près des grands axes de circulations, les plus pollués et donc les plus cancérigènes ?
Les écologistes ont également été accusés de nuire à l’emploi. La réalité, c’est que la filière automobile française est d’ores et déjà en difficulté. Nous avons aujourd’hui le choix entre une stratégie qui consisterait à s’arc-bouter sur une technologie du passé et une autre qui se tournerait résolument vers l’innovation et inscrirait la France dans un projet industriel d’avenir. Constatons d’ailleurs que les constructeurs français qui se tournent vers d’autres motorisations sobres et non polluantes, comme le GNV (gaz naturel pour véhicules), sont en train de remporter des marchés à l’international, et même en Chine !
Tout le monde y serait gagnant : nos concitoyens pourraient à nouveau respirer en ville et verraient petit à petit croître leur espérance de vie ; les salariés du diesel seraient désormais employés dans un secteur durable, attractif et exportateur et non plus dans une industrie moribonde malgré la perfusion étatique ; l’État, enfin, réaliserait à moyen terme des économies phénoménales, que ce soit par la disparition progressive de la niche fiscale associée au diesel (7 milliards d’euros par an) ou par la diminution progressive du coût pour la société des pathologies liées à la pollution atmosphérique, évalué entre 20 et 30 milliards d’euros par an.
« Irresponsables », les écologistes ? C’est au contraire une question de responsabilité que d’affronter ce scandale sanitaire, qui se double d’une aberration économique. Une question de responsabilité que de refuser que la sortie du diesel mette autant de temps que la sortie de l’amiante qui se vit d’ailleurs opposer exactement le même type d’arguments que ceux employés aujourd’hui pour « sauver » le diesel -, lenteur dont nous payons encore aujourd’hui le prix.
Pour ces raisons, les membres du Groupe écologiste du Sénat ont inscrit mercredi à l’ordre du jour des discussions en hémicycle une proposition de loi dont le but est de revoir les critères du malus automobile de manière à y intégrer une composante reposant sur les émissions des polluants atmosphériques que sont les oxydes d’azote et les particules fines.

Éradication

Cette mesure permettrait de prendre en compte la dimension sanitaire du problème, sans toutefois pénaliser les possesseurs actuels de véhicules diesel, qui peuvent avoir le sentiment d’être piégés lorsque l’Etat choisit de surtaxer le carburant de véhicules diesel qu’on les avait incités à acquérir par un dispositif fiscal antérieur.
L’éradication du diesel et la reconversion de son industrie n’sont pas une fatalité, c’est une question de volonté politique. Tokyo a par exemple fait disparaître les véhicules diesel en moins de dix ans. La décision obtenue par les élu-e-s EELV du Syndicat des transports d’Île de France (STIF) organisant une sortie totale du matériel roulant bus francilien de la motorisation diesel à horizon 2020 tout comme le vœu adopté par le Conseil de Paris pour une sortie progressive et concertée du diesel à Paris, montrent que l’idée fait son chemin et peut finir par trouver un appui large.

Aline Archimbaud, Sénatrice de Seine-Saint Denis et auteure de la proposition de loi « particules fines »
Emmanuelle Cosse, Secrétaire nationale d’Europe Écologie les Verts
Christophe Najdovski, Maire Adjoint de Paris, chargé des transports, des déplacements, de la voirie et de l’espace public
Pierre Serne, Vice-président de la région Ile-de-France chargé des transports et des mobilités
 

14 janvier 2014

Taxis :quand la defense d'un monopole tue une profession

Les taxis parisiens ont longtemps milite pour le maintien d'une limitation de leur nombre.
Resultat? La "plaque" est une barrier a l'entree tres onereuse (EUR250k) qu'il faut ensuite rentabiliser. Comme ils ne sont pas assez, le service en patit egalement (essayez donc de trouver un taxi pour 4 un Samedi soir).

Du coup, la concurrence s'intensifie et les reactions sont violentes.
(plus de Tweets sur cet article d'Aljazeera)
Voir aussi: Le Monde: « Je boycotte totalement les taxis »

Autant dire que je n'ai aucune sympathie pour eux.

Posts precedents sur le meme sujet:

11 octobre 2013

La concurrence peut elle rendre les chauffeurs de taxi aimables?

Les taxi parisiens ont mauvaise reputation: pas aimables, des parcours pas toujours les plus courts, raleurs, jamais la quand on a besoin d'eux, etc.

Reputation totalement justifiee a mon avis totalement subjectif et personel.

C'est pour cela que je me rejouis de la concurrence que leur font l'equivalent parisien des minicabs anglais:

La guerre entre les taxis et les véhicules de tourisme avec chauffeur est déclarée - Le Figaro, 10/10/13

Nicolas Sarkozy avait promis de liberer (liberaliser) cette profession, ce qui creerait 50.000 emplois. Pourquoi apres tout un nombre limite de plaques?

Voir mes posts precedents sur le sujet:

05 janvier 2012

SeaFrance coule, et alors?

La société de ferries Seafrance.Seafrance, la filiale car ferries de la SNCF est en cessation de paiement ; le gouvernement et les syndicats s'echarpent sur la solution: Concours de mauvaise foi sur SeaFrance - LExpansion.com.

Pour les gouvernements precedents, la solution aurait ete evidente: un renflouement, avec l'argent du contribuable -une fois de plus. Ce qui est different cette fois, c'est que l'heure est aux economies -triple A et crise de l'Euro obligent.
La situation est fort simple: Seafrance tres syndiquee, souffre d'une hemorragie de cash alors meme que la concurrence se reduit sur le traffic transmanches: depuis notamment l'arret d'Hoverspeed, il n'y a plus que P&O et le tunnel. Tous les deux affichent des tarifs plus eleves, Seafrance etant positionne toujours plus agressivement, sans doute faute d'un marketing adapte?
Or leurs effectifs sont plus eleves que P&O, ce qui lamine les marges. Il n'y a qu'a aller au bar, pour voir les restaurants vides (positionement plus haut de gamme que les betailleres P&O au devant du navire) mais avec toujours trois employes.
Faut-il que l'etat reste implique dans un operateur de car ferries? Est-ce une mission d'interet national ou strategique?
Peut etre, mais a quel prix?
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15 septembre 2010

Roissy, bonet d'ane des aeroports: le syndrome du poinçonneurdes Lilas...

J'ai deja blogge la dessus en 2009 (Roissy CDG: le pire aéroport du monde? [slate.fr]) et la le Figaro en remet une couche:
Le Figaro - Sociétés : Roissy et Beauvais, les pires aéroports au monde

Bien entendu, ces articles s'appuient sur des enquetes dont la fiabilite est plus que douteuse, mais il est egalement de notoriete publique que l'on de bonnes chances de perdre son bagage a CDG.

La morale de l'histoire? En France nous oublions qu'un aeroport, une gare, une station de RER, etc, sont beaucoup plus qu'un batiment, c'est un service. Il ne sert a rien de construire des tres beaux terminaux comme a Roissy (sans parler du 2EF, celui qui s'ecroule) si les flux sont mal geres (comme dans le terminal 2B). Pourquoi avoir une superbe gare souterraine a Magenta pour le RER E s'il n'y a pas d'agents pour aider les passagers avec des baggages encombrants et avec un ticket demagnetise? (histoire vecue). Et que penser de ces gares vandalisees et sales?

Malheureusement, le cout du travail est tel en France que l'on a des cathedrales vides. C'est le syndrome du poinçonneurdes Lilas...




01 juin 2010

Securite routiere: et les infrastructures

Vu sur Autonews.fr: France : après les autoroutes, le néant ?
Des autoroutes au top, mais des axes secondaires trop perfectibles encore en France. Voilà en résumé le bilan qui peut être fait de l’étude rendue publique mardi par l’Automobile Club, qui communique le résultat du volet français du premier test indépendant réalisé par les Automobile et Touring Clubs européens, dans le cadre du programme EuroRAP (European road assessment programme ou « programme d’évaluation des routes européennes »).

Les resultats sont assez mauvais en fait: 25 May 2010. How Safe Are Europeans On French Roads This Summer?
  • In the last decade, 60,000 people have lost their lives on French roads
  • France the number one holiday destination for the Dutch and Belgians
  • 10% of road crashes involving Dutch people happen outside the Netherlands
  • In the summer, some 13% of calls to Belgian motoring clubs relate to crashes in France
  • France is the UK's biggest road-touring holiday destination
  • Death rates on France's roads compare with those of Britain and the Netherlands 15 years ago
  • Alcohol plays a major part: in 80% of drink-drive related crashes the driver was more than twice the blood-alcohol limit
Lien vers le document: How safe are you on French roads? English ou Francais (au passage, bonet d'ane a Autonews pour l'absence de liens).

En bref, les autoroutes sont sures mais pas les nationales. Ca on le savait, ce que les conducteurs (et les pouvoirs publics) savent moins c'est que la reduction des tues sur la route passe aussi par une amelioration des infrastructures routieres sur le reseau secondaire. En effet, a decharge de la DDE, la France etant le plus grand pays d'Europe (une superficie deux fois plus importante que le Royaume-Uni a population egale), il est logiquement plus onereux d'entretenir les routes de campagnes.

Sauf que, a force de faire de la repression bete et mechante s'appuyant sur de fausses verites (non, la vitesse n'est pas le facteur le plus important pour les deces), on ne resoud pas les vrais problemes: virages mal signales, en devers, carrefours aveugles, intersections en deux fois avec des routes a deux-voies avec terre plein central, etc... Beaucoup pourraient etre resolus avec des ronds points (c'est agacant mais c'est plus sur).

Voir aussi mes posts precedents:





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01 février 2010

Les radars et les ronds points

Le 20 décembre 2009 à Sames sur l'autoroute A64 reliant Bayonne à Toulouse, après un carambolage impliquant une quinzaine de véhicules dû à des pluies verglaçantesAlors que le Canard Dassault titre sur France : Comment la route est devenue plus sûre, j'en profite pour rappeller encore une fois que les radars ne sont pas un instrument de prevention des deces, surtout sur l'autoroute qui n'enregistre que moins de 8% des tues sur le reseau autoroutier francais.

Le role de la securite par les infrastructure est connu mais le reseau est souvent inadapte. En effet, alors qu'un radar rapporte, modifier un carrefour coute. A la fin de l'article en effet on peut lire:
Enfin, les infrastructures ont également fait chuter l'accidentalité. C'est le cas de la multiplication des carrefours giratoires qui en faisant diminuer la vitesse ont réduit la gravité des accidents. Selon l'Observatoire national interministériel de sécurité routière, le nombre de personnes tuées lors d'une collision par le côté a ainsi été réduit de près des deux tiers en dix ans.


Voir mes posts precedents sur le sujet:





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22 janvier 2010

Radars troncons -nouvel impot, rien pour la securite

Lu aujourd'hui: Radar tronçon : il débarque en France ! > Votre-quotidien sur Autonews.fr

Je suis avec Philou: les radars troncons ne concernent que des zones ou il n'y a pas de jonctions, donc par definitions moins accidentogenes. Les autoroutes ne representent que 8% des tues, donc il ne s'agit que d'un impot deguise.

Par ailleur, Bildom a tout a fait raison lorsqu'il dit que rouler avec une epave ou de maniere dangereuse n'est pas sanctionne par les radars.

Donc encore une fois, tout sur la repression, rien sur l'amelioration de la securite passive (par de meilleures infrastructures). D'ailleurs, cela fait longtemps que l'on ne parle plus de metter des radards uniquement aux "points noirs". 

PS: j'ajoute que les radars troncons, ou a vitesse moyenne, ne concernent pour l'heure que les zones en travaux en Grande-Bretagne. En France, ou la densite est plus faible, il y a un fort risque d'induire une somnolence.

Voir mes posts precedents sur le sujet:




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02 octobre 2009

Prenons donc le bus?

LOIN DEVANT Avec une moyenne de 44 g de CO2/km etpar passager, l'autocar se positionne comme le moyen de transport le plus écologique. Photo D.R.L'Argus reprend une etude du www.ce.nl sur les Transport : le plus écolo n' est pas celui que l'on croit -qui tord de cou a certains prejuges.

  • Comme elle prend en compte les taux d'occupation, le relief et tous les polluants (et non le CO2, qui au risque de me repeter n'est pas un polluant, juste un gas a effet de serre, contrairement aux particules emises par les moteurs diesel) certaines conclusions sont surprenantes
  • Par exemple l'autobus est moins polluant que le TGV. Et oui.
  • Il y a peu de differences entre le diesel et l'essence
  • Le bateau est moins polluant que le train, meme s'il y a encore beaucoup de progres a faire.
Je n'ai pas trouve le document source sur le site du CEL malheureusement...



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11 septembre 2009

Roissy CDG: le pire aéroport du monde? [slate.fr]

PYM m'a fait passer un Libe qui reprend un article de slate.fr par Jacques Attali: Roissy CDG: le pire aéroport du monde? par Jacques Attali | slate qui reprend un sondage de sleepinginairports.net

Pour memoire, Jacques est le frere jumeau de Bernard Attali, l'ex PDG d'Air France qui n'y pas laisse un souvenir imperissable. Jacques Attali quant a lui, est egalement un de ces cadres de notre fameuse elite parisienne, ayant occuppe diverses fonctions ete l'eminence grise de Tonton et chef controverse de la BERD.

Bref, cet article de slate cite une enquete de sleepinginairports.net, demandant aux internautes leur avis.

Je me mefie toujours de ces sondages, en particulier parcequ'ils font appel a un echantillon non representatif -en l'occurence les backpackers (comment dire en francais?) et, comme le tite du site l'indique il s'agit de gens souhaitant dormir a l'aeroport, pour economiser une nuit d'hotel en attendant leur prochain vol.

Un public particulier donc.

Il n'en reste pas moins que je partage les critiques sur le site:
  • En general, le service est a la francaise. Ca veut dire que les personel d'accueil sont en sous effectifs, tout comme les agents de la douane, etc.
    Comme le dit Jacques Attali, "Pire encore, quand on y arrive tôt le matin, il n'y a en général que deux fonctionnaires de police, qui font de leur mieux pour traiter les milliers de gens débarqués de dizaines de gros porteurs arrivant d'Amérique et d'Asie.".
    La on remercie les socialistes qui ont tellement taxe le travail que ca devient trop cher d'avoir du personel en nombre satisfaisant, et non flexible de surcroit. En plus, de cela, la politesse n'est que trop rarement au rendez-vous: personellement je ne supporte pas d'attendre dans une file et de voir les agents se tailler la bavette, et quand vient votre tour de s'adresser a vous de maniere hautaine. JE suis le client, merde!
    Extrait choisi: "The biggest problem, however, seems to be with the unpleasant and unhelpful attitudes of airport personnel. Whether you are just passing through or staying the night, be prepared to experience some French hostility. From the time you arrive, you may encounter inefficient passport officers who, as iq tells us, "talk and laugh amongst themselves while passengers reach the boiling point. It always takes me an hour or more to pass this passport control. By then, of course, your connecting flight has left, and you have to face uninterested Air France staff who show little sympathy."
  • En plus les flux sont mal organises, avec souvent des encombrements dus au conflit entre entrees et sorties et des salles d'embarquement etriquees.
  • Les voyageurs se plaignent aussi des SDF, moi personellement je trouve les taxis toujours problematiques.
  • Finalement, les horaires d'ouverture des (rares) commerces sont assez restreints. Je n'arrive pas a comprendre pourquoi ADP ne tire pas mieux parti d'une clientele captive, il doit y avoir une raison pour que BAA ait construit LHR T5 comme un centre commercial.




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