Eurovision: le candidat de la France désigné mardi soir sur France 3 (Le Monde.fr, 13/03/06)
Mais apres reflexion, s'en tape t-on tant?
Car ce sont les con-sommateurs qui payent les dépenses marketing nécessaire a la promotion de cette daube.
L'economie connectée permet une dés-intermédiation entre les musiciens (voir le cas de Sandi Thom, artiste de Tooting, grand-Londres, pres de chez moi, se produisant sur internet devant 60000 fans). Et permet donc aux auditeurs de choisir leur musique au lieu de consommer les nanards ce que les majors essaient de refiler: voir l'example de Lala.com qui permet de s'echanger des CD. Cet article pointe le fait que WalMart stocke 5000 titres alors que l'industrie musicale en sort 30000 par an.
Le modele économique des majors de la musique est-il donc attaqué, par la diversité et la qualité plutot que par les téléchargements en ligne?
Tags: humour, musique.en.ligne
12 mars 2006
On s'en fout! (mais peut etre pas?)
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