Libération prend la défense des cheminots de la RATP sujets a quolibets et calomnies sur le net pour cause de grèves sur les lignes de RER D et B : Cheminots, entre ragots et préjugés (Cédric MATHIOT lit-il Transmanches ?)
Mais n’est ce pas juste retour de bâton pour les 700 000 clients qu’ils prennent en otage ? Le même journal relate le ras le bol de ces "usagers" au bord de la crise de nerf. Ils travaillent 40 week-ends par an? J’entends d’ici les commerçants et autres professions libérales rigoler jaune.
De quel droit une revendication catégorielle et floue peut elle se transformer en cauchemar pour 1 million de Franciliens ? L’impact sur l’économie mais également sur les salaries du prive est énorme : certains se plaignent des réticences des employeurs a engager quelqu’un venant au travail par le RER D, d’autres ne sont pas payes s’ils ne peuvent venir travailler, et que dire de tous ces parents avec des jeunes enfants devant les faire garder, prendre des vacances, etc… ?
14 décembre 2005
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